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A chaque fois que nous nous réunissons dans l'Eglise sous la pulsion de l'Esprit Saint, nous manifestons avec gratitude la foi reçue dans l'Eglise depuis le jour de notre Baptême. Sous les traces de notre Seigneur en cette solennité, nous célébrons le mystère de sa mort et de sa résurrection avec l'aide de son Esprit.
En savoir plusAujourd'hui nous célébrons un grand jour de notre foi. Il s'agit de l'épiphanie. Jésus Christ qui est né dans une discrétion totale se laisse découvrir par l'univers avec la visite des rois mages. Dieu n'a pas attendu pour révéler à l'humanité l'heure cruciale de son histoire. Je vous inviter à m"diter avec moi , en cette fête de l'Epiphanie, sur la question du temps et celle du lieu.
En savoir plusEn ce dernier jour de l’année 2024, je viens vous partager la joie de notre assurance sur Dieu qui ne nous abandonne pas, la force de persévérance devant les adversités de la vie et le bonheur de vivre dans l’action de grâce.
En savoir plusAprès l'écoute de ces trois lectures, ouvrons notre cœur aux merveilles du Seigneur. Lui qui est le Dieu des promesses, il réalise au temps voulu ce qu'il a promis et notre vie prend un autre tournant. C’est les trois points de notre méditation que je développe en ce quatrième Dimanche de l'Avent.
En savoir plusDepuis le premier dimanche de l’Avent, l’Eglise entière a adopté une attitude de douceur teintée de calme de l’attente. Cela se remarque même dans la liturgie de la messe qui a suspendu le chant de Gloria pendant le temps de l’Avent. Au fond, ce n’est pas la mélancolie qui est exprimée quand l’Eglise adopte cette attitude. C’est plutôt l’invitation qui est lancée à tous les fidèles d’approfondir leur espérance sur Celui qui vient dissiper nos ténèbres par la grande lumière. Voilà pourquoi nous méditons sur ses promesses en adoptant les attitudes qui révèlent que nous ne sommes pas sans espérance dans notre marche existentielle.
En savoir plusNous allumons la deuxième bougie de l’Avent car nous restons vigilants dans la lumière. Malgré le refus de Dieu observé dans la vie de tous les jours de la part des humains, Dieu ne se dédouane pas de ses promesses. Le Tems de l’Avent nous invite en ce jour d’aplanir le chemin pour le Sauveur qui vient. Sollicitons sa grâce au cours de cette célébration.A chaque période de l’histoire, Dieu place des veilleurs pour assurer la permanence de ses promesses. Si nous le rejetons, nous nous détruisons ; quand nous nous détruisons, il nous restaure si nous revenons vers lui ; alors qu’il nous accueille, nous recevons la mission d’annoncer son salut à tous. C’est les trois points que je vous partage dans cette méditation.
En savoir plusAujourd’hui nous avons la responsabilité de témoigner l’accomplissement de la promesse de Dieu pour le monde. Le temps de l’Avent, pour chaque chrétien, est le moment d’améliorer sa relation avec Dieu. Nous n’avons pas besoin d’attendre le discours qui nous jette dans l’anxiété avant de croire que le Christ reviendra. Mais chaque jour est une école qui nous apprend comment attendra notre Seigneur. La fête de Noël que prépare directement le temps de l’Avent, est une ouverture au retour du Christ pour la rédemption définitive.
En savoir plusEn méditant l'évangile, nous découvrons combien Jésus se laisse toucher par la souffrance de cet aveugle nommé Bartimée. Il était jusqu'alors un simple mendiant qui ne profitait peut-être pas des miettes qu'il recevait. Connaissant notre monde, les gens sont devenus très avides qu'ils ne doutent plus d'escroquer même le pauvre. Chacun se soucie de son intérêt sans réfléchir sur les conséquences de ses actes. Voilà pourquoi en apprenant le passage de Jésus, Bartimée épuise toute son énergie pour faire entendre sa désolation. Mais qui est disponible pour comprendre sa douleur ?
En savoir plusLe Christ, devant Pilate, se dit Roi. Il le déclare ainsi car sa Royauté est toute spéciale. Pilate et le reste des juifs sont incapables de percevoir qu’il n’est pas là pour évincer les pouvoirs éphémères de ce monde. Car il n’y a pas de commune mesure entre la Royauté que le Christ instaure et les royautés de ce monde. La Royauté du Christ n’est pas institution humaine (Lc 18,36 ;Dn 7,14), alors que les rois de ce monde comptent sur des hommes pour être élus ;la Royauté du Christ n’a pas besoin de propagande pour s’établir, alors que celle du monde passe en se faisant des publicités comme un nouveau produit sur le marché (car elle doit toujours vouloir convaincre au-delà de sa vraie nature) ;la Royauté du Christ ne flatte personne et évolue sans complaisance, alors que celle de ce monde a choisi des courbettes comme mode de vie même devant des forces des ténèbres (Mt 4,8-9) ; la Royauté du Christ est au service des autres (surtout les plus humbles), alors que celle du monde sert souvent pour son propre intérêt et commande en maître (Lc 22,25) ;la Royauté du Christ n’a pas de mandat (Ap 1,6 ;Ps 93,1), alors que celle du monde doit se battre pour revoir et revoir encore son mandat…
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